L’ introduction du statut d’auto-entrepreneur doit être accompagnée d’un choix fiscal qui affecte l’impôt assumé sur son chiffre d’affaires : le régime normal ou l’option pour les prélèvements fiscaux. Un créneau fiscal intéressant puisque le futur entrepreneur sera en mesure d’opter pour le système fiscal le plus attrayant. Cependant, le choix est très compliqué et souvent mal réalisé parce que le calcul est complexe. Le régime qui optimise votre situation fiscale varie en fonction de la situation (célibataire, marié), du chiffre d’affaires (CA) et des salaires perçus si le microentrepreneur est employé ailleurs. L’article présente les choix à faire pour les auto-entrepreneurs qui ont opté pour le régime BNC (bénéfices non commerciaux). En cas d’erreur, changer le régime alimentaire est possible et l’approche est présentée dans l’article. La stratégie pour les autres plans sera décrite. Nous parlons ici seulement l’impôt sur le revenu et non les cotisations sociales qui seront versées à vous dans votre chiffre d’affaires.
Plan de l'article
- Pourquoi le calcul de l’impôt pour les micro-entrepreneurs est-il si compliqué ?
- Microentrepreneur unique sans revenu auxiliaire : impôt libératoire ou normal ? Exemples chiffrés.
- Entrepreneur autonome unique avec impôt sur le revenu salarié ou sur l’emploi (accre-are) : exonération fiscale ou non ? Exemples.
- Exemple : Un microentrepreneur ayant un SMIC devrait-il choisir le taux de libération ou l’impôt sur le revenu ?
- Exemple : les auto-entrepreneurs qui refusent indûment le prélèvement de libération perdent beaucoup d’impôts.
- Comment faire le bon choix entre l’impôt et la taxe de libération pour le microentrepreneur ?
- Autoentrepreneur marié ou promené : faites attention aux changements brusques de la taxe.
- Bilan : impôt normal ou taxe de libération pour l’auto-entrepreneur ?
- Changer le régime fiscal en un auto-entrepreneur : une simple marche.
- Impôt à la source pour les micro-entreprises.
- Impôt à la source pour les micro-entreprises.
Pourquoi le calcul de l’impôt pour les micro-entrepreneurs est-il si compliqué ?
Tout d’abord, sachez que la retenue à la source ne modifie pas les calculs expliqués dans l’article. Je parlerai de la retenue d’impôt à la source à la fin, mais je vous conseille de lire d’abord les calculs.
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Sur papier, il semble assez simple et facile à optimiser : 1) Ou bien vous choisissez le schéma normal : votre chiffre d’affaires sera alors intégré dans la déclaration de revenus de l’année prochaine et imposé selon des parenthèses fiscales (0%, 11%, 30%…) après une réduction de 34%. pour un retour d’impôt. Taxe fiscale fiscale : Tax vous prend 2,2% de votre chiffre d’affaires « à la source » dans une déclaration mensuelle ou trimestrielle.
En fait, il vous sera presque impossible de faire le bon calcul si vous n’êtes pas un expert fiscal expérimenté. D’une part, les parenthèses fiscales varient en fonction du revenu imposable figurant dans la déclaration de revenus (vous trouverez des détails dans notre article expliquant comment la fourchette d’imposition marginale est calculée). Le taux d’imposition pour le régime normal varie en fonction du chiffre d’affaires après une baisse de 34%, mais aussi selon les salaires, le revenu du conjoint pacse/marié… D’autre part, les autorités fiscales établissent un calcul très spécifique pour les contribuables qui ont opté pour le taux de 2,2 % qui touchent un salaire ou un chômage ailleurs. Une partie du chiffre d’affaires est fictif rétabli sur la déclaration l’année suivante, malgré le fait que l’impôt est déjà payé (appelé « revenu mondial » dans votre avis d’impôt). Les salaires, les revenus (notamment la répartition des emplois AE) et autres sont imposés directement sur les tranches élevées en raison d’une réinsertion fictive du chiffre d’affaires par les autorités taxe sur la déclaration. J’ai détaillé ici le calcul injuste du taux effectif pour les auto-entrepreneurs.
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Je ne parle même pas de la coupe de cheveux ou du revenu du conjoint, ce qui complique le tout. Le but de l’article est de vous dire lequel du plan normal ou Le taux de sortie est le plus intéressant en fonction de votre situation particulière.
Microentrepreneur unique sans revenu auxiliaire : impôt libératoire ou normal ? Exemples chiffrés.
Premier cas : Le chiffre d’affaires est votre seule source de revenus et vous êtes célibataire. Vous n’avez aucun revenu pour nulle part ailleurs, peu importe les salaires, le chômage ou les revenus fonciers. Le choix de la taxe dépend uniquement de votre chiffre d’affaires en tant qu’auto-entrepreneur et devrait être comme suit :
Choix fiscal pour un auto-entrepreneur BNC seul sans autre revenu
Chiffre d’affaires anticipé (BNC) | Choix de la taxe la plus intéressante |
Moins de 28 636€ | Régime alimentaire normal |
Excédant 28 636€ | Prélèvements fiscaux |
La limite ici est de 28 636€ si le barème fiscal 2021 est utilisé. Cela est facilement vrai, puisque la taxe est alors la même quel que soit le choix fiscal : — Taxe auto-entrepreneur avec une CA de 28,636€ sous le régime normal : 34% de réduction ou 18.900€ imposés sur la déclaration d’impôt : 630€. — Taxe auto-entrepreneur avec une CA de 28,636€ pour la taxe : 28,636* 2.2% = 630€.
Si votre chiffre d’affaires est inférieur à 28 636€, le plan normal est plus intéressant car une grande partie ne sera pas imposable. Si votre chiffre d’affaires dépasse 28 636 euros, les prélèvements fiscaux ont priorité pour réduire l’impôt.
Exemple : — Taxe selon le régime normal Entrepreneur indépendant en BNC avec un CA de 20 000€ : : 0€. — Libération fiscale de la taxe : 440€ Vous devez choisir le régime normal pour un gain fiscal de 440€.
Micro-entrepreneur en CNB avec un chiffre d’affaires de 30.000€ : — Impôt sous le régime normal : 774€. — Taxe sur le prélèvement de la taxe libératrice : 660€ Vous devez choisir le prélèvement fiscal.
Entrepreneur autonome unique avec impôt sur le revenu salarié ou sur l’emploi (accre-are) : exonération fiscale ou non ? Exemples.
Le régime devient rapidement complexe si vous avez un revenu, en plus de votre chiffre d’affaires. Il devient impossible de vous orienter sur le bon choix pour l’euro, car il variera en fonction du montant de votre salaire et de votre chiffre d’affaires. Cependant, plusieurs situations sont présentées afin que vous puissiez aborder le bon plan en fonction du revenu des employés. Dessinons une règle d’or à suivre pour tout auto-entrepreneur dans cette situation. Je te le donnerai directement. Le micro-entrepreneur perdra beaucoup d’argent en refusant à tort l’imposition libérale. D’autre part, un entrepreneur indépendant qui assume les honoraires et se trompe subira une augmentation raisonnable des taxes.
Exemple : Un microentrepreneur ayant un SMIC devrait-il choisir le taux de libération ou l’impôt sur le revenu ?
Je pense que le micro-entrepreneur ici a un autre genre de revenu salarial. Cela peut également être le salaire du conjoint joint dans la même déclaration.
Choix fiscal pour un seul microentrepreneur avec 15 000€ de revenus accessoires déclarés
Chiffre d’affaires anticipé (BNC) | Choix de la taxe la plus intéressante | Impact fiscal en cas d’erreur |
Moins de 1.700€ | Régime alimentaire normal | Pour une CA comprise entre 0 et 1 700€, une erreur dans le choix de la taxe (exonération au lieu de la normale) augmenterait votre taxe d’environ 50€ au maximum. |
Supérieur à 1 700€ | Prélèvements fiscaux | Pour un AC compris entre 1 700€ et 34 400€, une erreur dans le choix de la taxe (normale au lieu de la libération) peut augmenter votre taxe jusqu’à plus de 2 500€. |
Pour un salaire déclaré de 15 000 euros, le prélèvement libérateur devient plus intéressant si votre chiffre d’affaires dépasse environ 1.700€. Ce n’est pas l’aspect le plus important ! Pour une CA inférieure à 1.700€, prendre le régime normal au lieu du taux de libération n’est pas très grave, car l’impact est alors très faible. D’autre part, prendre le régime normal au lieu du taux de libération peut avoir des conséquences désastreuses pour les AC plus élevés !
Exemple : Autonome en BNC avec un CA de 1500€ et 15 000€ de salaires : — Taxe selon le régime normal : 0€. — Taxe sur la taxe libérale : 33€. Le choix à privilégier est celui donné par la matrice (normale). Si la personne a tort, elle paiera beaucoup de 33€. L’impact est faible
Microentrepreneur en BNC avec un chiffre d’affaires de 20 000 euros et 15 000€ de salaires : — Impôt sous le régime normal : 2 466€. — Impôt sur la taxe de libération : 1.380€. Le choix à privilégier est celui donné par la table (libératrice). Si la personne a tort, elle paiera 1000€ de trop ! L’impact est fort.
Plus votre chiffre d’affaires est élevé et plus de 1 700€, plus la perte fiscale sera lourde si vous faites le mauvais choix (normal au lieu de libératoire). D’autre part, l’erreur dans l’autre sens (choisir libératoire au lieu de normal pour un chiffre d’affaires inférieur à 1.700€) a peu d’impact et vous coûtera quelques dizaines d’euros maximum. Une règle qui peut être trouvée pour tout auto-entrepreneur avec des gains salariaux, quel que soit leur chiffre d’affaires. Le seuil de chiffre d’affaires pour faire le bon choix varie en fonction du salaire (par exemple, le seuil était de 1 700€ pour un salaire de 15 000 euros). Dans en dessous du seuil, le régime normal prévaut alors qu’au – dessus du prélèvement libérateur est meilleur.
Certains tableaux supplémentaires montrent le choix à faire en fonction de votre niveau de salaire (changement de seuil) et l’impact d’un erreur dans le choix l’impôt.
Exemple : les auto-entrepreneurs qui refusent indûment le prélèvement de libération perdent beaucoup d’impôts.
Exemples :
Choix fiscal pour un seul microentrepreneur avec 22 000€ de revenu accessoire déclaré
Chiffre d’affaires anticipé (BNC) | Choix de la taxe la plus intéressante | Impact fiscal en cas d’erreur |
Moins de 100€ | Régime alimentaire normal | Pour une CA comprise entre 0 et 100€, une erreur dans le choix de la taxe (crédit-bail plutôt que normal) augmenterait votre taxe de l’ordre de 30€ maximum. |
Plus de 100€ | Prélèvements fiscaux | Pour une CA comprise entre 100€ et 34 400€, une erreur dans le choix de la taxe (normale au lieu de libération) peut augmenter votre taxe jusqu’à plus de 2 800€. |
Ici, le régime libérateur est presque nécessaire. LE Le régime normal n’est valable que pour une CA inférieure à 100€. Choisir le régime normal au lieu de libérer plus de 100€ CA peut générer un excédent fiscal de plus de 2 800€ ! UN grosse erreur.
Choix fiscal pour un seul entrepreneur avec 10 000€ de revenu accessoire déclarée
Chiffre d’affaires anticipé (BNC) | Choix de la taxe la plus intéressante | Impact fiscal en cas d’erreur |
Moins de 9 600€ | Régime alimentaire normal | Pour un AC compris entre 0 et 9 600€, une erreur dans le choix de l’impôt (libérateur plutôt que normal) augmenterait votre impôt d’environ 200€ au maximum. |
Plus de 9 600€ | Prélèvements fiscaux | Pour un AC compris entre 9 600€ et 33,100€, une erreur dans le choix de la taxe (normale au lieu de libération) peut augmenter votre taxe jusqu’à plus de 2 200€. |
Encore une fois, le seuil varie en fonction des gains, du chômage et de la terre. Encore une fois, le fait de se tromper et de mettre libératoire au lieu de la normale sous le seuil a peu d’impact. D’un autre côté, oublier de placer la sortie avec une CA supérieure à la limite peut vous coûter plus de 2 200€.
Comment faire le bon choix entre l’impôt et la taxe de libération pour le microentrepreneur ?
Comme vous le comprendrez, chaque situation est différente, mais nous pouvons nous rappeler trois points clés : 1) En plus d’un seuil de chiffre d’affaires, le prélèvement de libération devient avantageuse. La limite dépend de votre les salaires. 2) En dessous du seuil, l’erreur n’est pas significative et coûtera à l’entrepreneur quelques dizaines d’euros au maximum. Este Il n’est pas important d’avoir pris le prélèvement libératoire si le régime normal est plus avantageux. 3) Au-delà du seuil, l’erreur a rapidement un impact fiscal très négatif. Il n’est jamais nécessaire de prendre le régime normal si la taxe de libération est plus avantageuse.
Si vous êtes en mesure d’anticiper parfaitement les salaires et le chiffre d’affaires, vous pouvez faire le choix exact en faisant des simulations ou en demandant un entretien téléphonique. Attention, ces seuils s’appliquent aux BCN, mais ils changent si leur revenu dépend du BIC. Dans le moindre doute, je recommande de suivre la règle d’or pour minimiser les risques : un seul entrepreneur indépendant déjà employé ou gagnant un pôle de revenu d’emploi a tout intérêt à choisir le prélèvement fiscal libératrice. Choisir le régime normal quand ce n’est pas la bonne solution peut vous coûter très cher. Le choix de l’imposition libérale quand ce n’est pas la bonne solution ne changera pas beaucoup.
Autoentrepreneur marié ou promené : faites attention aux changements brusques de la taxe.
Nous avions vu dans cet article, les partenaires mariés/rythmés peuvent déclarer séparément la première année s’ils le souhaitent alors ils sont tenus de déclarer de manière commune. Si vous êtes dans cette situation, l’optimisation de votre impôt en tant qu’auto-entrepreneur devient plus que complexe. L’impôt dépend le revenu de votre conjoint, votre revenu (employés, AER, terre) s’il existe et votre chiffre d’affaires. En ce qui concerne vous dire qu’il est impossible de faire les calculs à la fois sont différents. Cependant, la règle d’or vue ci-dessus s’applique parfaitement ici : dans le doute, choisissez le taux de libération ! Perte sera minime s’il s’agit du qui était intéressant lorsque les contribuables qui optent indûment pour le régime normal au lieu de libératoire peuvent perdre plusieurs milliers d’euros l’ impôt.
Si vous voulez faire le bon choix, je vous invite à me contacter pour un devis ou utiliser le simulateur « tax gov.gov » pour anticiper la taxe. Vous devrez effectuer deux simulations : l’une avec vos salaires et le chiffre d’affaires déclaré dans le prélèvement (case 5TE) et l’autre avec vos salaires et votre chiffre d’affaires déclarés au régime normal (case 5HQ) . N’oubliez pas d’ajouter 2,2% taxe sur le chiffre d’affaires à la simulation de sortie avec la boîte 5TE. Attention, les boîtes ne sont pas les mêmes pour la recette BIC. Voir : Comment remplir la déclaration de revenus des micro-entreprises ?
Notez également que le mariage ou PACS aura une forte incidence sur le changement fiscal pour le couple. Si l’un des deux est un employé et l’autre est autocontractant, faire une déclaration conjointe peut entraîner : — Une forte baisse de l’impôt pour le couple ; — Une forte augmentation de l’impôt pour le couple ; — Une taxe similaire.
Tous les cas sont possibles selon le salaire et le chiffre d’affaires. Il est logique de faire les simulations en amont pour anticiper la taxe sur mieux.
Bilan : impôt normal ou taxe de libération pour l’auto-entrepreneur ?
Si l’article est trop dense, rappelez-vous les points suivants :
1) Auto-entrepreneur unique sans autre revenu : le régime normal est meilleur si votre chiffre d’affaires est inférieur à 28,636€ ; en plus de la taxe libératrice A est nécessaire.
2) Entrepreneur autonome avec revenu accessoire (chômage, salaire, terre) et/ou marié : votre situation nécessite une étude spécifiques. Dans le doute, vous devriez toujours choisir la taxe libératrice qui vous permettra d’optimiser la situation et de perdre moins en cas d’erreur.
3) Vous voulez vous assurer de faire le bon choix et connaître l’impact exact : vous pouvez faire autant de simulations que nécessaire dans le simulateur impot.gouv (salaire dans la case 1AJ, chiffre d’affaires dans la case 5HQ pour le régime normal ou 5TE pour la taxe fiscale fiscale fiscale fiscale fiscale). Ces encadrés concernent les auto-entrepreneurs dans le cadre du régime à but non commercial. Vous devrez ajouter les 2,2 % pris dans l’AC si vous remplissez la case TE.
Changer le régime fiscal en un auto-entrepreneur : une simple marche.
Est-ce que l’article vous a permis de voir que vous n’êtes pas imposé sous le bon régime ? Ne paniquez pas ! Vous pouvez changer votre régime alimentaire (ou rejoindre le taux de libération ou l’arrêter) pour l’année suivante. Le processus doit être fait avant le 31 décembre pour que le changement entre en vigueur l’année suivante. Une demande au centre de paiement ISR avec une approche spécifique suffira au moment de faire la déclaration de revenus. J’explique ceci ici : microentreprise : comment changer les choix fiscaux en cours de route ? Notez qu’ils vous demanderont votre revenu fiscal de référence qui ne doit pas dépasser une certaine limite pour être admissible au taux de libération. Tous les contribuables ayant une importante AC ET les salaires n’ont pas la possibilité d’opter pour le taux de libération.
Impôt à la source pour les micro-entreprises.
La transition vers l’échantillonnage de la source ne modifie pas les calculs fiscaux. Les conseils et les calculs que je fais dans l’article sont toujours en vigueur. D’autre part, le paiement de la taxe aura lieu à différentes dates avec la taxe à la source. J’ai écrit un article entier pour que les micro-entrepreneurs fassent le bon choix ici : micro-entrepreneur et fiscalité à la source.
avant le 31 décembre pour que le changement entre en vigueur l’année suivante. Une demande au centre de paiement ISR avec une approche spécifique suffira au moment de faire la déclaration de revenus. J’explique ceci ici : microentreprise : comment changer les choix fiscaux en cours de route ? Notez qu’ils vous demanderont votre revenu fiscal de référence qui ne doit pas dépasser une certaine limite pour être admissible au taux de libération. Tous les contribuables ayant une importante AC ET les salaires n’ont pas la possibilité d’opter pour le taux de libération.
Impôt à la source pour les micro-entreprises.
La transition vers l’échantillonnage de la source ne modifie pas les calculs fiscaux. Les conseils et les calculs que je fais dans l’article sont toujours en vigueur. D’autre part, le paiement de la taxe aura lieu à différentes dates avec la taxe à la source. J’ai écrit un article entier pour que les micro-entrepreneurs fassent le bon choix ici : micro-entrepreneur et fiscalité à la source.