La première gorgée de café à peine avalée, déjà l’écran crépite : quinze nouveaux e-mails, autant d’attentes. Certains semblent glisser sur cette mer agitée, imperturbables, pendant que d’autres s’essoufflent à la rame, submergés par la houle des urgences. Qu’est-ce qui différencie ceux qui mènent la barque de ceux que le courant emporte ?
Il y a le collègue qui boucle …